Zadig et Voltige a maintenant sorti un parfum pour les garçons et pour les filles.
Je préfère for him. Et bien j'ai beau revisiter Marilyne dans les années 2010, je n'arrive pas à dormir.
Même en mettant un pschit, j'ai des insomnies.
Je sais ce que vous allez me dire, c'est la vie d'artiste, c'est pas facile...
Je ne suis ni dans l'associatif, ni dans le subversif.
La pionnière en paresse chercherait elle à déplaire? Et bien, c'est malgré elle...
Pas de de potes sympatoches qui bossent dans le cinoche. Crotte. Mais qu'est ce que j'ambitionne ?
On ne peut pas dire qu'il y a vraiment de l'entraide, mais au moins, on se connait. On a tout le loisir de se complaire. De se reconnaitre dans quelques concepts, de prendre l'air dans de beaux cocktails.
Je suis modeste et je m'exerce à être moi même.
Travail d'orfèvre.
J'ai déclamé ds poèmes. J'étais coquette, je passais par Marseille, j'aimais bien le soleil. Oui c'était mon dandysme, version féminine.
Ca je le revendique.
Il faudrait que je me recycle dans l'écriture de livre pour les régimes. Cette vie d'éternelle jeune fille me laisse paraitre svelte, jeunette.
Je devrais délivrer mes secrets aux lectrices de Elle...
Mais sont elles pretes à vivre et à suivre mes recettes?
Quand on aime, on crée, on cherche. Quand on s'aime soi même ça aide.
Mais voir des têtes de fions qui nous annoncent leurs ambitions par des actions, je commence à regarder le plafond.
J'ai honte d'être une danseuse de fond.
Je préfère for him. Et bien j'ai beau revisiter Marilyne dans les années 2010, je n'arrive pas à dormir.
Même en mettant un pschit, j'ai des insomnies.
Je sais ce que vous allez me dire, c'est la vie d'artiste, c'est pas facile...
Je ne suis ni dans l'associatif, ni dans le subversif.
La pionnière en paresse chercherait elle à déplaire? Et bien, c'est malgré elle...
Pas de de potes sympatoches qui bossent dans le cinoche. Crotte. Mais qu'est ce que j'ambitionne ?
On ne peut pas dire qu'il y a vraiment de l'entraide, mais au moins, on se connait. On a tout le loisir de se complaire. De se reconnaitre dans quelques concepts, de prendre l'air dans de beaux cocktails.
Je suis modeste et je m'exerce à être moi même.
Travail d'orfèvre.
J'ai déclamé ds poèmes. J'étais coquette, je passais par Marseille, j'aimais bien le soleil. Oui c'était mon dandysme, version féminine.
Ca je le revendique.
Il faudrait que je me recycle dans l'écriture de livre pour les régimes. Cette vie d'éternelle jeune fille me laisse paraitre svelte, jeunette.
Je devrais délivrer mes secrets aux lectrices de Elle...
Mais sont elles pretes à vivre et à suivre mes recettes?
Quand on aime, on crée, on cherche. Quand on s'aime soi même ça aide.
Mais voir des têtes de fions qui nous annoncent leurs ambitions par des actions, je commence à regarder le plafond.
J'ai honte d'être une danseuse de fond.
Pardon de cette absence. Ces deux derniers textes me plaisent beaucoup. Les questions sont bonnes, humaines, il y a de la sincérité et les mots sont élégants ; alors c'est agréable à lire. On pourrait même y réfléchir. L'interdit, la vie d'artiste, le fait de ne pas rentrer dans telle ou telle catégorie... L'humanité est un rassembleur universel pour les esprits ouverts et sensibles.
RépondreSupprimerJe ne suis pas très bavard tant qu'on ne me demande pas de m'exprimer. Voici mon mail, comme ça nous sommes à égalité : damien.gerardeaux@gmail.com