mercredi 28 octobre 2015

des livres de cuisine

Il a joué dans un film, un film de cuisine.
Qui? Mais Clovis, le fils de  l'actrice,
De Cornillac je parle, pas le roi du parc.
Clovis en vitrine, dans une sorte de série.
J'ai oublié le titre de cette série dramatique. Je n'ai vraiment aucun crédit.
C'est un trip sélectif, du tri chez les apprentis.Seuls ceux qui se sentent investis resteront au service.
C'est les psy publicistes qui ont prescrit la thérapie.
Ce sont eux les têtes de listes, pas de la politique. Non je parle de marketing.

J'ai décidé de faire une remise.
Je vais ouvrir une boutique, ou on fait de la cuisine, ou il faut venir en tricycle, ou il faut être bi.
Je vais demander une prime à la Mairie de Paris
Ah quelle époque je vis... Enfn de la poésie et de la devise.
Enfin la place aux gens simples qui font avec leurs mains sans se plaindre. Le destin au bout des mains.
Les transitions ne sont pas faciles pour nos publicistes. Mais tant qu'ils ne sont pas face à leur pire ennemi, ils s'en fichent.
Quand je pense à Clovis, le fils de l'actrice, je me dis,
Faut que ça se fasse vite, toutes ces conneries
justement parce qu'on ne sait pas ce qui va suivre. On n'est pas face au vide. .
Pire, on risque l'ennui.
Et l'ennui c'est leur ennemi, la faillite pour nos élites...
Ceux pour qui on sera toujours à l'usine.
Même si on leur redonne le gout de vivre...

Et ça dure depuis des décennies.